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Qui est Amal, fondatrice de Blooming You ?

Rencontrez Amal fondatrice de la marque Blooming !  

Amal, c’est impossible de ne pas l’aimer dès le premier échange : en plus d’être ravissante et solaire, elle dégage une énergie et une authenticité peu communes…

A travers le témoignage d’Amal, 44 ans, fondatrice du site holistique BLOOMINGYOU, c’est le récit de nos questionnements de vie qui se fait lumière… et quelle joie d’avoir Amal et son expérience pour nous éclairer, dans tous les sens du terme !

1/ à quel moment t’es-tu dit qu’il fallait que tu « changes de vie » ?

En fait, cela n’a pas été radical, c’est un processus très progressif, il faut du temps pour regarder sa souffrance en face et gagner en lucidité. Dans mon cas cela a été un processus douloureux, avec le deuil de ma maman qui est partie à 60 ans des suites d’une longue maladie, juste avant sa retraite, sans même avoir vraiment eu le temps de profiter de ses petits-enfants alors tout jeunes (2 ans et demi et 8 mois).
J’ai conscience que l’événement est assez commun, mais c’est tout mon schéma de vie qui s’est effondré. Ma mère n’avait jamais bu ni fumé, avait toujours mangé de manière très équilibrée, des produits frais du jardin, avait toujours travaillé dur en se disant qu’elle « profiterait à sa retraite »… Elle vivait dans un mode très sacrificiel en fait, classique des parcours d’immigrés qui « construisent pour l’avenir ».
Je pensais que la mort et le deuil ne m’étaient pas destinés à ce moment-là, j’ai pris la situation de front, avec les moyens du bord, en mode « pilote automatique » au début.
J’étais en colère, je ressentais une injustice profonde, et surtout, c’était mon schéma de vie qui s’écroulait… Non, vraiment, ça ne servait à rien de « cocher toutes les cases du contrat social » et d’attendre la retraite pour profiter de la vie…

2/ Comment as-tu réagi sur le coup ?

De ce côté-là, c’est un vrai chemin personnel. Nous avons souvent trop tendance à crucifier l’échec, le doute et à croire qu’on peut toujours s’en remettre aux autres.  Je crois que quand il y a beaucoup de souffrance, un choc personnel, un point de rupture, chacun digère le choc à sa manière, et mieux vaut privilégier l’auto-compassion. Quand maman est partie, ça a été un mélange de souffrance et délivrance, et j’ai d’abord eu un immense besoin de légèreté. J’avais le sentiment d’avoir toujours vécu dans un cocon, avec une enfance très aimante, très riche au niveau affectif, et mon monde de croyances s’écroulait, j’étais en pleine perte de sens, en pleine dissonance de valeurs… Je ne savais plus quoi promettre à mes enfants, quel schéma de vie leur offrir ? J’avais même du mal à les regarder droit dans les yeux et j’ai eu besoin de prendre un peu mes distances… Je l’assume et je le reconnais, j’ai beaucoup été dans la fuite et l’évitement à ce moment-là, et cette phase de remise en question est un vrai challenge pour le couple et la vie familiale. Pourtant, je n’ai pas une once de regret, j’assume maintenant à 200% mes faiblesses et mes vulnérabilités, il faut accepter notre humanité dans son imperfection si nous souhaitons évoluer. Ce n’était pas un échec pour moi, mais plutôt une phase nécessaire.

3/ Comment as-tu réussi à transformer le négatif en positif ?

La réalité finit toujours pas te rattraper : ta réalité de maman, d’épouse, mais aussi ton corps qui t’envoie des signaux très clairs !
J’ai eu à cette période une douleur profonde au ventre qui m’a amenée à aller à l’hôpital de toute urgence aidée par une amie qui a appelé les secours (je rampais par terre) et là, le verdict des médecins est tombé : il n’y avait absolument RIEN.
Et alors là, je me suis dit que si le stress pouvait provoquer une douleur pareille, il y avait vraiment des mécanismes à l’œuvre que j’avais besoin de comprendre. Je ne savais pas « nommer » ce que je ressentais, je trouvais indécent de me plaindre alors que j’avais un super boulot, un mari aimant, de supers enfants et je ne m’autorisais pas à parler de ma souffrance. Je me suis donc tournée vers la littérature, pour creuser des questions existentielles sur le sens de la vie, pour élargir mes horizons… (J’ai été éduquée dans la foi, mais dans une foi éclairée  et j’ai toujours un peu rejeté le dogmatisme religieux)
J’ai eu besoin de sentir l’humanité à nue, le fil qui nous relie, le sens de la vie..je ne savais même pas quelle question poser en fait, j’avais besoin de nourrir mes questionnements. J’ai notamment lu le livre « On peut se dire au revoir plusieurs fois » de David Servan-Schreiber, et ça a été bouleversant d’humanité pour moi, j’avais l’impression de revoir ma mère. La lecture a été un vrai chemin vers moi-même. Cette empathie, ce sentiment de communauté d’émotions si fort, c’est quelque chose que je n’ai ressenti qu’à de rares moments de douleur dans ma vie, mais c’était d’une intensité rare : un regard croisé pendant l’enterrement avec un ami qui venait aussi de perdre sa mère, un regard dans l’ascenseur de l’hôpital avec un fils venu s’occuper de son père mourant…
Et là, on est dans le vrai, le cœur mis à nu, l’absence de jugement, et je crois que c’est ce qui m’a en partie réconciliée avec mon projet de vie : arrêtons d’être dans le jugement et le paraître  qui tuent la relation aux autres et à soi-même, arrêtons la « sur-adaptation sociale » et apprenons à être plus  dans le
« savoir-vivre » !
Et j’avais les réponses à mes questions, pour moi, pour mes enfants qui me questionnent sur la mort :
« Le sujet n’est pas d’être immortel, ce n’est pas grave de mourir un jour, c’est même inéluctable, l’important c’est de VIVRE pleinement sa vie ! » Dans une société qui surfe beaucoup sur les peurs, il est vraiment de notre responsabilité de parents d’inviter les enfants à oser, à être curieux, à oser devenir ce qu’ils veulent être, même si cela avance par petits pas, et si le chemin est jonché d’échecs… c’est le chemin de l’apprentissage et de la liberté.

Avec le lancement de BLOOMINGYOU, j’ai vraiment eu une envie forte de partager, de sauter dans le grand bain pour partager un nouveau regard sur le monde que je trouve essentiel aujourd’hui. S’affranchir des codes, écouter sa petite voix intérieure, résister aux embûches et aux détracteurs (souvent des proches qui s’inquiètent pour nous, pour notre situation…)
Pour aller mieux, j’ai aussi beaucoup fait le ménage autour de moi et appris à m’éloigner des personnalités que j’estimais un peu « toxiques » pour moi.
Il faut savoir le faire, j’ai d’ailleurs été sans pitié !

4/ Et au niveau de l’hygiène de vie, as-tu des conseils particuliers ?

Oui, j’ai 44 ans maintenant et je sens la différence avec mes 20 ans  !
Je récupère plus difficilement, quand je fais trop d’écarts, je le ressens vite, bref, l’hygiène mentale est impossible sans une bonne hygiène physique, bref,  «  Un corps sain dans un esprit sain ».  L’important est surtout de se faire du bien, en apprenant à respecter son corps, à « entretenir la machine qui nous porte » tout simplement.
Bien se nourrir, être une bonne vivante, selon moi, c’est d’abord privilégier la qualité à la quantité, ne pas boire trop d’alcool, faire du sport régulièrement, faire des écarts et puis se rattraper .. Encore une fois, accepter nos imperfections, mais le faire « en conscience ». Cuisiner frais, au plus près du produit, savoir écouter nos envies alimentaires ( si parfois on sent qu’on a besoin d’un steak, alors, il faut y aller !)
J’ai aussi beaucoup lu et appris sur l’alimentation curative (Notamment éviter le lait et le sucre blanc), et je prends des compléments alimentaires en évitant de les prendre en continu, mais je ressens un réel bienfait sur mes cycles notamment quand je prends des Oméga 3 dosés en DHA par exemple. Je prends aussi de la spiruline, du sélénium, du zinc, mais la clé de la santé reste une bonne hygiène de vie et d’abord comprendre et respecter son corps, bien connaitre son fonctionnement et son horloge biologique propre ( nous ne sommes pas tous égaux face au sommeil, à la vitalité…).
Et le sport est ma colonne vertébrale d’hygiène de vie : je fais 4h de course à pied et 3h  de natation par semaine. Et attention, aujourd’hui, j’adore, mais il faut un peu se forcer au début avant de vraiment profiter des sensations ! Mais ça vaut le coup de persévérer : aujourd’hui, je me sens mieux qu’il y a 10 ans !

5/ Tes 3 conseils pour finir ?

C’est une formidable opportunité d’avancer en âge, de rentrer dans la subtilité de la vie, on est plus affûtés, on perd moins de temps, on va à l’essentiel !
Alors osons vivre, allons vers notre risque, ne nous prenons pas trop au sérieux et prenons conscience que notre chemin de vie n’appartient qu’à nous-mêmes.

1. Utiliser ses peurs, ses colères : les questionner, les interroger, les décortiquer.

2. Oser ! S’accepter, assumer : la vie est trop courte pour regretter !

3. Rester constamment curieux : quand on “étouffe”, c’est signe que l’on a besoin d’élargir ses horizons ( et cela peut passer par le voyage, une activité, des lectures..)

Après, chacun fait comme il peut !

Merci à Amal Dadolle,
fondatrice du MAGAZINE holistique « Blooming You »

Osez changer de vie & apprenez a respecter votre corps
1/ quel a été ton point de rupture ? A quel moment t’es-tu dit qu’il fallait que tu « changes de vie » ?
2/ Comment as-tu réussi a transformer le négatif en positif ?
3/ Un chemin personnel
Livres etc..
4/ Respecter son corps, « entretenir la machine »
Hygiene de vie
Sport, alimentation, complements alimentaires..
& l’importance de faire des ecarts et d’accepter ses imperfections
5/ 3 conseils ?
  1. Utiliser ses peurs, ses coleres, les questionner, les interroger
  2. Oser ! (S’accepter/ assumer/ la vie est trop courte pour regretter)
  3. Etre curieux : quand on etouffe, besoin de s’ouvrir a de nouveaux horizons

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