Pourquoi les femmes perdent-elles leurs cheveux ?
La perte de cheveux chez les femmes, parfois appelée alopecie, peut se manifester par une chute diffuse ou localisée sur certaines zones. Elle est souvent liée à des troubles physiologiques, hormonaux ou environnementaux, et peut être le signe d'une maladie sous-jacente. Pour établir un bilan précis et choisir un traitement adapté, il est important de consulter un medecin ou un dermatologue dès l'apparition des premiers signes de chute.
Effluvium Télogène
L’effluvium télogène, aussi appelé effluvium réactionnelle, est une cause fréquente de chute de cheveux, en particulier chez les femmes. Cette condition survient lorsque de nombreux follicules pileux quittent brusquement la phase anagene (croissance) pour entrer en phase télogène (repos), entraînant une chute des cheveux diffuse trois à quatre mois plus tard. Souvent déclenché par un stress important, un choc émotionnel, un lupus, une infection ou même un traitement médicamenteux, il mérite un bilan et un suivi par des medecins ou un dermatologue.
Troubles Hormonaux
Les troubles hormonaux, tels que l’alopecie androgenetique, jouent un rôle important dans la perte de cheveux chez les femmes. Cette maladie androgénétique, bien connue chez les hommes, peut aussi toucher les femmes, provoquant un affinement et une chute progressive sur la zone masculine du sommet du crâne. Pour confirmer le diagnostic, il est conseillé de passer un bilan hormonal et de consulter un dermatologue afin de commencer un traitement antichute adapté.
Carences Nutritionnelles
Une carence en nutriments essentiels comme le fer, le zinc ou certaines vitamines (B9, B12) peut perturber le cycle (phase anagène) des cheveux et provoquer une chute diffuse. Une alimentation déséquilibrée ou un déficit pondéral (chute de poids importante dans le corps) peut déclencher un effluvium et conduire à des cheveux qui ne repoussent plus correctement.
Stress et Fatigue
Le stress physique ou psychologique, ainsi que la fatigue, peuvent déclencher un effluvium reactionnelle caractérisé par une chute soudaine de cheveux. Le stress chronique peut également favoriser des troubles cutanés comme le lichen plan ou des lesions inflammatoires, perturbant le cycle pilaire et favorisant l’alopecie.
Médicaments et Traitements
Certains medicaments et traitements, notamment la chimiothérapie, les corticoïdes ou des traitements contre le lupus, peuvent interrompre la phase de croissance des cheveux et provoquer une chute temporaire ou parfois permanente. Même des produits anti-chute comme le minoxidil peuvent nécessiter un suivi médical et faire l’objet d’un bilan régulier par un medecin ou un dermatologue.
Coiffures et Habitudes
Les coiffures trop serrées, comme les chignons, les tresses ou les queues de cheval hautes, peuvent exercer une pression constante sur les cheveux, causant une alopecie de traction. Si ces habitudes persistent, elles peuvent abîmer irrémédiablement les follicules et créer des zones clairsemées, nécessitant parfois une greffe ou un traitement antichute.
Maladies et Infections
Certaines maladies inflammatoires, des infections fongiques (teigne) ou auto-immunes comme le lupus érythémateux cutané, ainsi que des lichen plan, peuvent détruire les follicules ou perturber leur cycle de vie. Ces affections provoquent des lesions sur le cuir chevelu et une alopecie localisée ou diffuse, et doivent être traitees par un dermatologue pour limiter les dégâts.
Comment le vieillissement des cheveux est-il influencé par nos hormones ?
Les hormones jouent un rôle clé dans le cycle et la santé des cheveux, de la phase anagène à la phase télogène. Les fluctuations hormonales peuvent provoquer un effluvium ou une alopecie androgenetique, particulièrement si des troubles endocriniens ne sont pas diagnostiqués via un bilan et une consultation chez un medecin.
Pendant la ménopause, par exemple, la diminution des niveaux d’hormones féminines comme l’œstrogène et la progestérone peut entraîner une perte de cheveux et un affinement des cheveux. Ces hormones sont essentielles pour une croissance rapide et une densité des cheveux plus élevée. Lorsque leur niveau diminue, les cheveux poussent plus lentement et s’affinent, ce qui peut conduire à une chute de cheveux et à un cuir chevelu plus sec et squameux.
De plus, l’augmentation de la sensibilité aux androgènes, les hormones masculines présentes en petite quantité chez les femmes, peut accélérer le cycle de vie des cheveux. Les androgènes, sécrétés par les glandes surrénales et les ovaires, peuvent rétrécir les follicules pileux, provoquant une chute de cheveux et un affinement des cheveux. Ce phénomène est souvent observé dans l’alopécie androgénétique, une condition où les follicules pileux sont particulièrement sensibles aux androgènes.
Les troubles thyroïdiens, tels que l’hyperthyroïdie ou l’hypothyroïdie, peuvent également affecter la santé des cheveux. Ces déséquilibres hormonaux peuvent entraîner une chute de cheveux diffuse et sévère, en raison de l’impact des hormones thyroïdiennes sur le métabolisme et la croissance des cheveux.
Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) est une autre condition hormonale qui peut influencer le vieillissement des cheveux. Cette maladie endocrinienne est caractérisée par une hyperinsulémie et une hyperandrogénie ovarienne, ce qui peut provoquer des problèmes de peau, des règles irrégulières, et une chute de cheveux due à la sensibilité accrue des follicules pileux aux androgènes.
Enfin, les changements hormonaux pendant la grossesse et le post-partum peuvent également affecter la santé des cheveux. Après une grossesse, de nombreuses femmes subissent une chute de cheveux post-partum due aux fluctuations hormonales, mais cette chute est généralement temporaire et suit une repousse normale des cheveux dans les mois suivants.
En comprenant comment les hormones influencent le vieillissement et la croissance des cheveux, vous pourrez établir un bilan, consulter un medecin ou un dermatologue, et adopter des traitements adaptés, qu’il s’agisse de produits antichute comme le minoxidil ou de solutions naturelles pour relancer la phase anagène.
Qu’est-ce que l’alopécie ?
L’alopécie désigne le phénomène de perte de cheveux, de sourcils ou de poils.
Il existe différents types d’alopécie (hormonale, génétique, suite à un traitement ou un événement traumatisant, liée à l’âge…), mais dans tous les cas, c’est souvent un passage assez traumatisant à vivre chez les femmes et de plus en plus fréquent.
Il est important de bien identifier le type d’alopécie à laquelle on est confrontée car on a bien souvent tendance à confondre cause & symptôme et à ne pas le traiter de la bonne manière. Et si le sujet est couramment abordé chez l’homme, il reste encore bien trop méconnu et tabou chez la femme !

Quels sont les différents types d’alopécie ?
Tout d’abord, on confond souvent différents types d’alopecie chez la femme !
Pourtant, la perte de cheveux féminine, qu’elle soit diffuse (effluvium télogène) ou localisée, gagne du terrain depuis les années 90. On estime que 40% des femmes souffriront d’une chute à un moment de leur vie, parfois sur des zones similaires à celles observées chez les hommes (front et sommet).
Les 2 facteurs les plus courants qui expliquent la perte de densité des cheveux (qui semble s’accélérer depuis les années 90) sont :
- Des déficits nutritionnels : La baisse de la qualité nutritionnelle des ingrédients (qui ne cesse de diminuer même si l’ampleur du décrochage varie d’une étude à l’autre, l’étude SUVIMAX confirme que les déficits d’apports ne semblent pas s’améliorer dans la population générale).
- Les déséquilibres d’ordre hormonal (troubles thyroïdiens, sensibilité aux androgènes et à la testostérone, maladie androgenetique : on parle d’alopecie androgénétique, la plus courante). Un bilan hormonal et une consultation chez un dermatologue ou un medecin sont souvent nécessaires pour poser un diagnostic.
L’alopecie androgénétique est le type de perte de cheveux le plus courant chez les femmes de plus de 30 ans. Si le rôle des androgènes est bien documenté chez les hommes, il reste moins étudié chez les femmes. Les follicules, sensibles à l’hormone DHT, s’affinent, la phase anagene est écourtée et la chute s’aggrave avec l’âge sans traitement adéquat.
Ce serait un mélange de prédisposition génétique (syndrome des ovaires polykystiques par exemple), de facteurs environnementaux et de sensibilité aux androgènes qui serait à l’origine de ce type de perte de cheveux chez la femme.
L’alopecie peut être diffuse et homogène (on parle alors d’effluvium télogène) ou très localisée par “pelade” avec des signes de zones sans cheveux souvent sur l’avant et le dessus du crâne. Ces manifestations nécessitent un bilan et une consultation chez un medecin.

Quelles sont les solutions proposées ?
A. Côté « médical »
On cite souvent le Minoxidil, la molécule phare de l’anti-chute, souvent efficace, mais dont on a souvent trop entendu des effets désagréables et/ou réversibles.
Amélie, 26 ans, interrogée par Medfem, témoigne :
« On me proposait un traitement, le Minoxidil. C’est un médicament anti-hypertenseur et vasodilatateur, une lotion un peu liquide à appliquer sur les plaques directement. Normalement, c’est contre l’hypertension artérielle, mais pendant l’utilisation de ces traitements, quelqu’un a remarqué que ça stimulait la pousse des cheveux. C’est un traitement qui nécessite des applications locales une à deux fois par jour, et c’est un peu un traitement à vie. Ça, on ne nous le dit pas vraiment – mais une fois qu’on le met, si on décide de l’arrêter, les cheveux qui ont poussé ont de grandes chances de retomber.
Je l’ai pris quand j’étais assez jeune, mais les effets secondaires m’ont fait un peu peur. Ça peut faire pousser des poils, entraîner des rougeurs ou des démangeaisons, etc. En plus, l’application de la lotion tous les jours donnait un aspect assez gras aux cheveux, ce n’était pas agréable».
Également sont souvent proposées des injections de corticoïdes ou des prescriptions de pilule anti-androgène. Comme vous le savez, nous préférons des solutions naturelles qui permettent au corps de retrouver un nouvel équilibre durable plutôt que des solutions de compensation qui masquent les symptômes et ne sont pas dénuées d’effets secondaires…
B. Et côté « naturel » ?
Il existe de plus en plus de solutions plus naturelles intéressantes. Le problème est que très souvent, on confond une origine d’ordre carentiel (manque de vitamines et minéraux essentiels : fer, zinc, vitamines C, E, B) avec une origine d’ordre hormonal (problème de microcirculation au niveau du cuir chevelu et de vieillissement naturel du cuir chevelu).
Si le problème est d’ordre hormonal, cela signifie que vous n’êtes pas forcément carencée en vitamines essentielles au cheveu, mais que la circulation de ces nutriments jusqu’au follicule pileux, au bulbe de votre cheveux, ne se fait plus bien. Résultat ? Le bulbe se rétracte, le cheveu s’affine et la pousse de nouveaux cheveux est moins stimulée donc les cheveux se renouvellent moins bien.
Car il faut bien comprendre que le soin du cuir chevelu est clé pour un cheveu qui vieillit bien, car, comme la peau, le cuir chevelu vieillit et il faut l’entretenir, le stimuler et l’assainir.
Le bon réflexe ? Masser régulièrement le crâne et le cuir chevelu par petits mouvements circulaires ( effet décontractant assuré :)) en utilisant un sérum riche en nutriments essentiels pour le cheveu, et, si possible, en actifs dopant la microcirculation cutanée au niveau du cuir chevelu.

Comment le vieillissement des cheveux est-il influencé par l’âge ?
Avec l’âge survient une double peine : on subit à la fois la baisse des capacités d’absorption des nutriments et le vieillissement naturel (ou lié à un déséquilibre hormonal) du cuir chevelu, et nos cheveux s’en trouvent fortement fragilisés.
En pratique, la baisse du niveau d’œstrogènes qui s’amorce de manière plus marquée dès 35 ans provoque un déséquilibre avec le taux d’androgènes (qui lui se maintient) et a pour conséquence d’accélérer les cycles de vie des cheveux. La plupart du temps, les cheveux commencent par s’affiner et perdre en robustesse, puis tombent plus tôt.
La perte est souvent diffuse avec une localisation plus marquée sur le dessus du crâne et les tempes.
30% des femmes ménopausées et en périménopause (7 à 14 ans avant la ménopause) seraient touchées par la chute accélérée des cheveux, phénomène encore plus accentué par le stress.
Il est alors important de bien identifier la cause et de modifier ses habitudes pour pouvoir retrouver un nouvel état d’équilibre et des cheveux pleins de force avant que le phénomène ne s’aggrave !

Le Sérum Cheveux Densifiant Anti-chute certifié BIO a été spécialement formulé pour restaurer la vitalité et la densité du cheveu en assainissant le cuir chevelu et en stimulant la croissance des cheveux à la racine. Flacon compte-gouttes de 50 ml.
Le complément
Découvrez notre live avec Suzie Desmet de @casseuse_de_noix sur les différents facteurs reliés à la perte de cheveux chez la femme. Choc émotionnel, inflammation, sensibilité hormonale, vous saurez tout sur le cheveu !

Les erreurs à éviter pour préserver ses cheveux
Pour maintenir la beauté et la santé de vos cheveux, il est essentiel de corriger certaines habitudes courantes qui peuvent les endommager. Voici les erreurs les plus fréquentes à éviter.
Utiliser un Shampooing Inadapté
Choisir un shampooing qui ne correspond pas à votre type de cheveux peut entraîner des déséquilibres et nuire à leur santé. Les shampooings trop agressifs, notamment ceux contenant des sulfates et des parabènes, assèchent le cuir chevelu et rendent les cheveux secs et cassants. Optez pour des shampooings adaptés à vos besoins, idéalement sans sulfates ni parabènes.
Laver Ses Cheveux Trop Fréquemment
Se laver les cheveux quotidiennement peut perturber l’équilibre naturel du cuir chevelu. Cela entraîne une perte des huiles naturelles, rendant les cheveux secs et fragiles. Limitez les lavages à 2 ou 3 fois par semaine. Entre les lavages, utilisez un shampooing sec pour préserver la propreté tout en évitant la déshydratation.
Utiliser de l’Eau Trop Chaude
L’eau chaude peut agresser le cuir chevelu, stimuler les glandes sébacées et rendre les cheveux gras plus rapidement. Elle peut également décolorer les cheveux colorés et les fragiliser. Privilégiez une eau tiède pour le lavage et terminez par un jet d’eau froide pour refermer les écailles et apporter de la brillance.
Négliger l’Après-Shampooing
L’après-shampooing est indispensable pour hydrater et démêler vos cheveux. Ne pas en utiliser peut laisser vos cheveux secs et emmêlés. Appliquez-le sur les longueurs et les pointes, en évitant les racines pour ne pas alourdir votre chevelure.
Frotter les Cheveux avec une Serviette
Frotter vigoureusement vos cheveux mouillés avec une serviette peut causer des frisottis et casser la fibre capillaire. Préférez éponger délicatement vos cheveux avec une serviette douce ou une serviette en microfibre pour réduire les dommages.
Utiliser des Outils Chauffants sans Protection
Les outils chauffants comme les sèche-cheveux, lisseurs ou boucleurs fragilisent la fibre capillaire lorsqu’ils sont utilisés sans protection. Appliquez toujours un spray thermoprotecteur avant de coiffer vos cheveux avec de la chaleur.
Oublier de Masser le Cuir Chevelu

Le massage du cuir chevelu est essentiel pour stimuler la circulation sanguine, éliminer les impuretés et les cellules mortes. Massez délicatement votre cuir chevelu pendant environ 2 minutes avec le bout des doigts à chaque lavage.
Utiliser des Peignes ou Brosses Inadaptés
Le choix de votre brosse ou peigne peut grandement influencer la santé de vos cheveux. Les peignes à dents serrées ou les brosses en métal peuvent abîmer les cheveux, surtout lorsqu’ils sont mouillés. Utilisez un peigne à dents larges ou une brosse douce, et commencez par démêler les pointes pour éviter les nœuds et les cassures.
Négliger les Soins Profonds
Vos cheveux ont besoin de soins en profondeur pour rester hydratés et en bonne santé. Ne pas utiliser de masques capillaires peut les laisser secs et fragiles. Appliquez un masque capillaire une fois par semaine pour nourrir vos cheveux en profondeur.
Oublier la Protection Contre le Soleil
Les rayons UV peuvent abîmer vos cheveux, surtout s’ils sont colorés ou secs. Utilisez des sprays avec protection UV ou portez un chapeau lors d’expositions prolongées au soleil pour éviter les dommages.
En évitant ces erreurs courantes, vous pouvez préserver la santé, la force et la brillance de vos cheveux. Adoptez ces bonnes pratiques pour une chevelure éclatante et en pleine santé.
Les meilleures solutions naturelles pour lutter contre la chute des cheveux
Les plantes
Les plantes au cœur de nos formules jouent un rôle essentiel dans la santé des cheveux et de la peau grâce à leurs actifs puissants et ciblés.
- L’huile d’Algues, riche en oméga 3 (EPA/DHA), aide à maintenir un bon équilibre hormonal et nerveux tout en réduisant l’inflammation, favorisant ainsi un cuir chevelu sain et des cheveux résistants.
- Le complexe breveté de blé, bourrache, palmier nain, pin sylvestre et seigle agit directement sur les causes spécifiques de la perte de densité capillaire, notamment l’alopécie androgénétique, en améliorant la microcirculation et en régulant la production de DHT, l’hormone responsable de la chute des cheveux.
- L’huile d’argousier, concentrée en vitamine C, E et oméga 7, apporte une hydratation profonde, stimule la régénération cellulaire et renforce l’élasticité de la peau et du cuir chevelu, pour une fibre capillaire revitalisée et une peau éclatante.
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D’autres actifs végétaux puissants viennent enrichir nos formules pour favoriser la croissance et la résistance des cheveux. - L’extrait de pousse de pois, reconnu pour son efficacité clinique, stimule la repousse dès la racine, renforce la densité capillaire et prolonge le cycle de vie du cheveu, offrant ainsi une chevelure plus épaisse et plus forte.
- Le ginkgo biloba, quant à lui, booste la microcirculation du cuir chevelu, optimisant ainsi l’absorption des actifs au niveau du follicule pileux pour une meilleure nutrition et vitalité des cheveux.
- Enfin, la kératine végétale agit comme un bouclier protecteur, pénétrant au cœur de la fibre capillaire pour renforcer sa structure, lui apporter force et matière, et limiter la casse.
Les compléments alimentaires


L’essentiel à retenir
Préserver la santé et la beauté de vos cheveux nécessite une approche à la fois globale et réfléchie. Comprendre les causes de la perte de cheveux, qu’il s’agisse de facteurs hormonaux ou de carences nutritionnelles, est essentiel pour choisir les bonnes stratégies de traitement. En intégrant des solutions naturelles, les plantes bénéfiques, vous pouvez considérablement améliorer la santé de vos cheveux.
Il est tout aussi important d’éviter les erreurs courantes dans votre routine capillaire. Par exemple, l’utilisation de shampoings agressifs, un lavage trop fréquent ou une négligence du rinçage peuvent nuire à vos cheveux. À l’inverse, adopter de bonnes habitudes comme les massages du cuir chevelu
FAQ
Comment stopper la chute des cheveux chez la femme ?
La chute des cheveux chez la femme peut être stoppée selon sa cause . Pour la chute réactionnelle, identifiez la cause sous-jacente et prenez des suppléments (fer, B12, zinc) . Le minoxidil 2% est recommandé pour les femmes . Des traitements topiques, sérums anti-chute et compléments alimentaires enrichis en cystine ou biotine aident à stimuler la repousse .
Quand s'inquiéter de la perte de cheveux d'une femme ?
Il faut s’inquiéter quand la perte de cheveux devient abondante, persiste plusieurs mois, s’accompagne d’un dégarnissage visible, d’un affinement marqué ou de zones clairsemées. Consultez un médecin si la chute affecte le moral, survient après un événement stressant ou est associée à d’autres symptômes comme des troubles hormonaux.
Quelle carence provoque des chutes de cheveux ?
Plusieurs carences provoquent des chutes de cheveux : le fer, le zinc, la vitamine B12, la biotine (B7) et la vitamine D . Le fer transporte l'oxygène vers les follicules pileux . Le zinc participe à la synthèse de kératine . Les vitamines B soutiennent la croissance capillaire . Ces carences nutritionnelles perturbent le cycle naturel des cheveux .
Quel est le remède le plus efficace contre la chute des cheveux ?
Le minoxidil et le finastéride sont les traitements les plus efficaces contre la chute des cheveux androgène, arrêtant la chute chez 80 à 90 % des patients . Pour la chute circulaire, l'immunothérapie à la diphénylcyclopropénone est efficace dans 30 à 80 % des cas . Les solutions naturelles comme l'huile de ricin et une alimentation équilibrée complètent ces approches.





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