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Comment agissent les perturbateurs endocriniens ?

Les perturbateurs endocriniens : késaco  ?

La thyroïde est une toute petite glande qui sécrète des hormones indispensables à l’activité de la plupart de nos cellules.

Elle est extrêmement sensible à nos conditions de vie : le stress, un changement d’alimentation ou même un effort physique de longue durée peuvent perturber son fonctionnement et son efficacité.
Mais aussi l’exposition à des perturbateurs endocriniens, composés chimiques qui semblent s’accumuler de plus en plus dans nos tissu depuis les dernières décennies…

Or même un infime dérèglement de la thyroïde peut bouleverser la plupart des fonctions clés de notre organisme : systèmes nerveux, endocrinien, digestif et cardiovasculaire, immunité, sommeil, poids, fertilité, équilibre mental…  c’’est toute notre qualité de vie qui est impactée !

On estime que 6 millions de Français souffrent de troubles de la thyroïde aujourd’hui.

L’expression « Pertubateurs endocriniens » a été créée par Théo Colborn en 1991.

Un perturbateur endocrinien (également appelé « leurre hormonal », «xénohormone ».) est une molécule ou un agent chimique composé, xénobiotique ayant des propriétés hormono-mimétiques et décrit comme cause d’anomalies physiologiques, et notamment reproductives » nous dit Wikipedia.

Comment agissent les perturbateurs endocriniens ?

En brouillant la communication hormonale, et c’est très exactement pour cela qu’ils sont au cœur de notre sujet !
Le système hormonal (ou endocrinien) est avec le système nerveux, un des deux mécanismes de communication principal de l’organisme.
Or, les milliers de produits chimiques qui ont fleuri dans notre environnement au cours des 50 dernières années (ce qui n’est pas grand-chose en termes de recul !) pourraient complètement brouiller la communication hormonale.

Brouillée comment ?

A cause de la ressemblance entre les composés chimiques créés par l’homme et les hormones, c’est ce qu’on appelle des « xéno-hormones ».
Pour comprendre, on pourrait comparer nos hormones a des clés, dont le rôle est de déverrouiller des serrures ( dits « récepteurs ») situées dans nos cellules afin de leur donner à accomplir une action spécifique.
Or, depuis quelques décennies, on constate que ces serrures (ou «récepteurs ») peuvent être ouvertes, fermées ou bloquées par des composants qui ne leur étaient pas destinés : les fameux perturbateurs endocriniens.
Ce qui rend leur effet très complexe à analyser, c’est que, tout comme nos hormones, ces molécules agissent à très faibles doses, elles ne sont donc pas immédiatement décelées comme toxiques, mais perturbent l’organisme de façon discrète,  à plus long terme.

LES PERTURBATEURS ENDOCRINIENS POURRAIENT AGIR DE TROIS MANIÈRES DIFFERENTES :

1/ Le mimétisme
Les perturbateurs seraient capables de se substituer aux hormones au niveau des sites d’activation ou récepteurs des cellules, avec des effets amplificateurs ou inhibiteurs.

2/ L’inhibition
Les perturbateurs bloquent les enzymes chargées de la maturation des hormones et créent par conséquence un déficit hormonal.

3/ La stabilisation
Les perturbateurs endocriniens s’attaquent aux systèmes qui gèrent normalement la modulation hormonale et leur dégradation, notamment les organes émonctoires comme le foie. Dès lors, les hormones persistent dans le corps et leur action n’est plus régulée ou contrôlée.

Ce qui nous choque

Baisse drastique de la fertilité, augmentation exponentielle des cancers hormono-dépendants, puberté précoce… les pathologies touchant notre système reproducteur explosent !
Or, ce sont des organes très réactifs aux hormones, ce qui accrédite l’idée de dysfonctionnements hormonaux croissants.

Et si la qualité de sperme des hommes a considérablement chuté ces dernières années, les femmes sont en toute 1ère ligne  : l’incidence des cancers du sein ne cesse d’augmenter (ainsi que celui des ovaires et de l’endomètre).

Encore plus inquiétant pour nos filles et les générations futures : selon une étude américaine, en 40 ans à peine, l’âge moyen de la pousse des seins a été avancé de 1 à 2 ans, or cette exposition précoce aux hormones accroît le risque de pathologies du système reproducteur à terme.

Et si la plupart des scientifiques pointent du doigt la nouvelle pollution chimique, la preuve scientifique « formelle » a du mal à être démontrée vu les mécanismes d’action complexes des perturbateurs endocriniens…

Mais ne mériterions-nous pas un « principe de précaution » sur un sujet de santé publique comme celui- là ?
Déjà, le règlement européen Reach impose aux industriels d’apporter la preuve de l’innocuité des produits qu’ils mettent sur le marché (l’inverse semble fou) mais c’est déjà « un premier pas dans la bonne direction », loin d’être suffisant…

De leur côté, les industriels et leurs lobbys sont vent debout pour défendre leurs composés, attaquant la moindre faille des études à charge et, surtout, la moindre généralisation d’un résultat partiel… des arguments souvent bien fallacieux à l’exact opposé du principe de précaution :
– « trouver des effets hormonaux à une substance ne prouve pas sa nocivité : cela dépend de la durée et de l’ampleur de l’exposition » (empêchant ainsi de fixer des « seuils »)
– « une démonstration sur un rongeur ou une culture ne prouve pas un effet sur l’homme »

Pourtant, l’homme n’est pas la seule victime et les effets dévastateurs sur l’environnement sont déjà bien visibles :
Les animaux en bout de chaîne alimentaire sont traditionnellement les plus contaminés (gros poissons, rapaces…) : c’est ainsi que plusieurs espèces de rapaces ont disparu (concentrant les toxiques, ils sont devenus incapables de se reproduire) et que les milieux aquatiques, qui concentrent les résidus de polluants, sont aussi particulièrement touchés.
Selon Jorg Oehlmann, écotoxicologue à l’université de Francfort, ce serait presque 25 % des espèces aquatiques qui seraient affectées de troubles hormonaux.

Avec beaucoup de cas de féminisation des mâles, attestant la présence massive de « xéno-oestrogènes » ( xéno-hormones imitant le fonctionnement des oestrogènes en particulier – l’hormone féminine par excellence)

Et l’un des problèmes majeurs, c’est ce que cette épuration d’hormones (que nous rejetons dans nos toilettes par exemple) et de perturbateurs endocriniens divers, serait très chère à réaliser au niveau des stations d’épuration, ce n’est donc pas possible aujourd’hui.
=> Seuls quelques filtres comme des filtres à charbon actifs seraient capables d’éliminer la plupart des résidus hormonaux et perturbateurs endocriniens.

Où se trouvent les principaux polluants du quotidien ?

Le stress, le tabac et l’exposition aux métaux lourds ont évidemment déjà de fort impacts sur notre système endocrinien (système qui produit et régule les hormones), particulièrement sur la thyroïde, le pancréas, les ovaires et les glandes surrénales.
Et les perturbateurs endocriniens, omniprésents dans notre quotidien (plastiques, produits d’hygiène, jouets, meubles et textiles, pesticides dans l’alimentation, poisson, lait, produits électroniques..), multiplient les déséquilibres hormonaux.

Au 1er rang des perturbateurs se trouvent les composés ci-dessous :
(vous pouvez en apprendre plus sur le site « Génération Cobayes », très bien fait)

1. Bisphénols
2. Phtalates
3. Parabens
4. Composés perfluorés et téflon
5. Triclosan
6. Pesticides
7. Additifs

Les phytooestrogènes issus des plantes (soja, houblon…) auraient également une action oestrogénique, mais leur durée de vie dans l’organisme est beaucoup plus courte que les xéno-oestrogènes synthétiques (retrouvés dans la pilule contraceptive, viande et produits laitiers non bio..), les rendraient beaucoup moins délétères.

Les plastiques et leurs phtalates sont particulièrement dans le viseur :
– En 2004, 100% des parlementaires testés par le WWF en 2004 avaient des phtalates et des retardateurs de flammes dans le sang.
-93% des Américains avaient du BPA dans le sang.

Cette « menace invisible » mais très présente, est en train de complètement dérégler notre fonctionnement hormonal en l’espace de 2 ou 3 générations à peine, excluant ainsi toute hypothèse d’ordre génétique :
les causes sont donc à rechercher directement dans notre mode de vie et notre environnement.
Alors, pouvons-nous interdire toutes ces substances du quotidien ou a minima limiter leur dosage ?
Le problème n’est peut-être pas si simple…

Les effets : le casse-tête de la mesure..

1er problème : déterminer un « seuil de toxicité»
Le mécanisme d’action des perturbateurs endocriniens est très compliqué à évaluer : ils peuvent avoir des effets à très faible dose et ont des interactions synergiques non linéaires, c’est-à-dire que les effets peuvent se multiplier au lieu de s’additionner, ce qui ne peut pas laisser place à une approche de « dose maximale » à respecter (ou « seuil toxicologique »)

2ème problème : « un mode d’action insidieux, silencieux»
En effet, la plupart des troubles se manifestent des décennies après la contamination responsable (un cancer chez l’adulte peut avoir été déclenché par une exposition au cours de la vie fœtale).
Et il est très difficile d’étudier et d’isoler les effets sur une si longue période !
Pollution, pesticides, rayonnements, l’homme est exposé à des milliers d’agents potentiellement dangereux.
Pourtant, les effets de transmission à certaines périodes de vie sensibles sont maintenant largement étayées, notamment les moments de grande sensibilité hormonale :
Vie fœtale, puberté, ménopause, c’est l’effet « cocktail » entre nos hormones chamboulées et les perturbateurs endocriniens qui peut être particulièrement délétère !

Encore une fois, les xéno-oestrogènes (présents dans viandes et laits non biologiques notamment) inquiètent particulièrement :
Une étude menée par l’université de Grenade démontre que la charge œstrogénique totale des femmes atteintes de cancers du sein était bien supérieure à celle de la population générale.

NOUS ACHEMINONS-NOUS TOUT DROIT VERS UN NOUVEAU SCANDALE SANITAIRE ?

Ce qui nous révolte :
Malgré les effets de plus en plus reconnus des perturbateurs endocriniens sur la santé, leur interdiction ou limitation se heurte au puissant lobbying de l’industrie pétrochimique notamment (à l’origine des polluants les plus répandus : phtalates, parabens…) et les mesures législatives permettant d’encadrer les perturbateurs endocriniens sont régulièrement reportées.
L’heure est vraiment à l’inquiétude : de nombreux scientifiques se sont unis pour interpeller les autorités sur les risques des perturbateurs endocriniens, appelant tant que possible à réduire par tous les moyens l’exposition aux produits chimiques de la population générale.

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