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Comment gérer l'hyperoestrogénie et rééquilibrer vos hormones ?

Écrit par Kevin Calatayud

Comment gérer l'hyperoestrogénie et rééquilibrer vos hormones ?
Comment gérer l'hyperoestrogénie et rééquilibrer vos hormones ?

L'hyperoestrogénie, un déséquilibre hormonal souvent méconnu, peut avoir des impacts significatifs sur la santé et le bien-être des femmes. Elle se caractérise par un excès d'œstrogènes par rapport à la progestérone, perturbant ainsi l'équilibre hormonal naturel.

Ce déséquilibre peut être causé par plusieurs facteurs, tels que l'exposition aux perturbateurs endocriniens, une mauvaise hygiène de vie, ou encore certaines conditions médicales comme l'endométriose ou le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK). En conséquence, le cycle menstruel peut être perturbé, provoquant des symptômes tels que des règles abondantes et douloureuses, une rétention d'eau, ou encore des troubles prémenstruels.

SOMMAIRE

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    Qu'est-ce que l'hyperoestrogénie ?

    L’hyperoestrogénie désigne un excès d’œstrogènes dans l’organisme féminin. Cela peut être un surplus absolu ou un déséquilibre hormonal, lorsque les niveaux d’œstrogènes sont trop élevés par rapport à ceux de la progesterone. Ces hormones jouent un rôle essentiel dans le cycle menstruel, notamment dans la régulation des phases pré- et post-ovulatoires. L’hyperoestrogénie peut entraîner des perturbations du cycle, comme des règles abondantes, des troubles pendant la phase post-ovulatoire, ou un syndrome prémenstruel accentué.

    Il est important de différencier les œstrogènes naturels, produits principalement par les ovaires, des œstrogènes synthétiques. Ces derniers sont présents dans certains traitements hormonaux ou proviennent des perturbateurs endocriniens présents dans l’environnement. Ces substances peuvent déséquilibrer le système hormonal en s’accumulant dans le tissu adipeux, surchargeant ainsi la capacité d’élimination du foie. Cela perturbe le cycle entero-hépatique et favorise un excès d’œstrogènes.

    L’hyperoestrogénie peut survenir pour plusieurs raisons : une surproduction d’œstrogènes, une insuffisance de progesterone pour contrebalancer ces hormones, ou une réduction de l’élimination des œstrogènes par le foie, souvent liée à des troubles de la détoxication hépatique. De plus, cet excès peut être aggravé par une mauvaise hygiène de vie, une exposition fréquente aux perturbateurs endocriniens, ou certaines pathologies comme le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) ou l’endométriose.

    Comprendre cette dynamique est essentiel pour identifier les troubles du cycle menstruel et leurs symptômes, permettant ainsi de mieux adapter le traitement.

    Les causes de l'hyperoestrogénie : pourquoi cela se produit-il ?

    L’hyperoestrogénie ne survient pas par hasard. Elle résulte souvent d’un cumul de facteurs liés à notre mode de vie, à l’environnement ou à des désordres hormonaux. Voici les principales causes à connaître pour mieux comprendre ce déséquilibre hormonal.

    • Exposition aux perturbateurs endocriniens : Notre environnement quotidien regorge de substances chimiques qui imitent les œstrogènes, comme certains plastiques (bisphénols, phtalates), cosmétiques, pesticides ou produits ménagers. Ces perturbateurs endocriniens peuvent s’accumuler dans l’organisme et perturber durablement l’équilibre hormonal, en augmentant artificiellement la présence d’œstrogènes, même lorsque les cycles restent réguliers.
    • Troubles hormonaux (SOPK, endométriose) : Certaines pathologies féminines favorisent l’hyperoestrogénie. Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) et l’endométriose sont associés à des cycles anovulatoires qui entraînent une insuffisance de progestérone, accentuant le déséquilibre œstrogènes/progestérone. L’hypothyroïdie, en ralentissant le métabolisme, peut également limiter l’élimination hormonale et contribuer à l’excès d’œstrogènes.
    • Alimentation et hygiène de vie : Une alimentation déséquilibrée, riche en sucres raffinés, graisses saturées, produits laitiers ou viandes issues de l’élevage intensif (souvent chargés en hormones ou perturbateurs), peut favoriser la surcharge œstrogénique. Les carences en nutriments essentiels (vitamines B, magnésium, zinc, iode) fragilisent le foie, organe clé de la détoxication des œstrogènes, et compliquent leur élimination. Le stress chronique ainsi que la consommation excessive d’alcool ou de café sont également des facteurs aggravants, car ils sollicitent le foie et déséquilibrent les cycles menstruels.
    • Traitements hormonaux et contraception : Certains contraceptifs oestroprogestatifs, les traitements hormonaux substitutifs de la ménopause (THS) ou les protocoles de procréation médicalement assistée (PMA, stimulation ovarienne) apportent des œstrogènes de synthèse qui, lorsqu’ils sont mal dosés ou mal éliminés, peuvent majorer l’hyperoestrogénie. L’arrêt brutal de la pilule peut également perturber l’équilibre hormonal et révéler un excès relatif d’œstrogènes.
    • Surpoids et tissu adipeux : Le tissu adipeux est une véritable « usine » à œstrogènes. En cas d’excès de poids ou d’obésité, la production d’œstrogènes augmente, accentuant le déséquilibre hormonal, surtout si l’activité du foie est altérée et que l’élimination des hormones est ralentie.
    • Autres facteurs aggravants : Une puberté précoce, une ménopause tardive, une inflammation chronique, des troubles hépatiques ou intestinaux, l’absence d’allaitement, et certaines prédispositions génétiques peuvent également contribuer à l’hyperoestrogénie. Ces facteurs illustrent la diversité des causes possibles et la nécessité d’une approche globale pour rétablir l’équilibre hormonal.

    Comprendre ces causes permet d’agir sur plusieurs leviers, qu’ils soient liés à l’hygiène de vie, à l’environnement ou à la prise en charge médicale, pour mieux prévenir et gérer l’hyperoestrogénie au quotidien.

    Les symptômes de l'hyperoestrogénie : comment les reconnaître ?

    Reconnaître l’hyperoestrogénie n’est pas toujours évident. Les signes cliniques peuvent être variés, parfois subtils, et de nombreuses femmes ne se doutent pas qu’un déséquilibre hormonal est à l’origine de leurs troubles. Voici les symptômes les plus caractéristiques à surveiller pour identifier une possible dominance d’œstrogènes dans votre cycle.

    • Règles abondantes et douloureuses : Si vos règles deviennent douloureuses plus longues, plus abondantes, voire hémorragiques, et s’accompagnent de douleurs intenses, cela peut indiquer un excès d’œstrogènes par rapport à la progestérone. Ces troubles du cycle menstruel se manifestent souvent en phase post-ovulatoire, lorsque l’équilibre hormonal est perturbé.
    • Sensibilité et gonflement des seins : Une poitrine tendue, douloureuse ou gonflée, notamment avant ou pendant les règles, est un symptôme fréquent chez les femmes souffrant d’hyperoestrogénie. Cette sensibilité mammaire est souvent associée à un syndrome prémenstruel (SPM) plus marqué.
    • Prise de poids et rétention d’eau : Un excès d’œstrogènes peut favoriser le stockage de graisses, particulièrement autour des hanches et du ventre, et entraîner une rétention d’eau. Cela peut se traduire par des jambes lourdes, des œdèmes ou une augmentation de poids visible sur la balance. Cette prise de poids est souvent localisée et difficile à perdre, même avec un mode de vie sain.
    • Fatigue, irritabilité et sautes d’humeur : L’hyperoestrogénie peut également perturber votre équilibre émotionnel. Vous pourriez ressentir une fatigue persistante, une irritabilité inhabituelle, des angoisses ou des fluctuations d’humeur, particulièrement en deuxième partie de cycle ou en période prémenstruelle.
    • Problèmes cutanés : Une peau plus grasse, l’apparition d’acné ou de boutons autour des règles, ainsi que des éruptions cutanées, sont des signes fréquents d’un déséquilibre hormonal entre œstrogènes et progestérone.
    • Modification de la glaire cervicale : En observant votre cycle, vous pourriez remarquer une abondance de mucus cervical et une sensation de glissement prolongée. Cela peut être le signe d’une fenêtre fertile élargie, mais aussi d’un excès d’œstrogènes dans la phase pré-ovulatoire.
    • Troubles digestifs : Des ballonnements, de la constipation ou une sensation de lourdeur digestive peuvent également accompagner l’hyperoestrogénie, notamment pendant le syndrome prémenstruel.
    • Diminution de la libido : Une perte de désir sexuel peut survenir en raison du déséquilibre hormonal et de la fatigue associée.
    • Apparition de kystes, fibromes ou troubles de la fertilité : Certaines femmes peuvent développer des kystes ovariens, des fibromes ou rencontrer des difficultés à concevoir, en particulier si l’hyperoestrogénie devient chronique.

    Si plusieurs de ces symptômes vous concernent, il est judicieux d’envisager une évaluation de votre équilibre hormonal, notamment du rapport œstrogènes/progestérone. Un suivi médical adapté et de bonnes habitudes d’hygiène de vie peuvent vous aider à retrouver un meilleur confort au quotidien.

    Les conséquences de l'hyperoestrogénie sur la santé des femmes

    L'hyperoestrogénie peut avoir un impact profond et varié sur la santé générale et reproductive des femmes. Sur le plan gynécologique, cet excès d'œstrogènes favorise le développement de pathologies telles que l'endométriose, caractérisée par une prolifération excessive du tissu endométrial en dehors de l'utérus, provoquant douleurs et complications. De même, elle peut augmenter le risque d'apparition de fibromes utérins et de polypes, qui perturbent la santé de l'utérus et entraînent des règles abondantes et douloureuses.

    Sur le plan de la fertilité, l'hyperoestrogénie peut entraîner des cycles irréguliers, des ovulations absentes ou de mauvaise qualité, notamment en lien avec le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK), compliquant ainsi la conception. Ce déséquilibre hormonal, souvent aggravé par une insuffisance relative de progestérone, affecte directement la préparation de l'utérus à la nidation et perturbe la régularité du cycle menstruel.

    Au-delà des troubles reproductifs, l'excès d'œstrogènes expose les femmes à un risque accru de cancers hormono-dépendants, tels que ceux du sein et de l'utérus. Certains métabolites issus de l’élimination hépatique des œstrogènes peuvent devenir cancérigènes s’ils s’accumulent, en particulier lorsque la détoxication hépatique est insuffisante ou lorsque l’excès d’œstrogènes est chronique.

    Les conséquences systémiques ne doivent pas être négligées : l’hyperoestrogénie est souvent associée à une prise de poids, notamment au niveau du tissu adipeux autour du ventre et des cuisses, ainsi qu’à une rétention d’eau persistante. Ces troubles métaboliques augmentent le risque de maladies cardiovasculaires et peuvent induire une fatigue chronique, des troubles digestifs et un impact négatif sur la qualité de vie globale.

    Enfin, cet état hormonal favorise des symptômes émotionnels tels que des sautes d'humeur, de l'irritabilité, une baisse de la libido, voire des troubles anxieux ou dépressifs, contribuant ainsi à une souffrance psychologique importante.

    En résumé, au-delà des symptômes immédiats, l'hyperoestrogénie crée un environnement propice à des complications médicales sérieuses, soulignant ainsi la nécessité d’une gestion adaptée pour prévenir ces effets délétères sur la santé féminine.

    Stratégies pour réguler l'hyperoestrogénie et rééquilibrer vos hormones

    • Pour lutter contre l'hyperoestrogénie et retrouver un équilibre hormonal, plusieurs stratégies naturelles peuvent être mises en œuvre, centrées autour de l'alimentation, du mode de vie et de la supplémentation adaptée.
    • Alimentation équilibrée et détoxifiante : Les légumes crucifères comme le brocoli, le chou-fleur et le chou de Bruxelles sont particulièrement efficaces pour soutenir la détoxication hépatique des œstrogènes grâce à leur richesse en composés soufrés. Les fibres alimentaires, présentes dans les fruits, légumes, céréales complètes et graines (chia, lin, sésame), favorisent l’élimination des œstrogènes via le cycle entéro-hépatique en emprisonnant les sels biliaires, réduisant ainsi leur réabsorption. Il est conseillé également de privilégier les bonnes graisses, issues notamment des poissons gras, des avocats et des huiles végétales de qualité, tout en limitant les sucres raffinés et aliments ultra-transformés qui perturbent l’équilibre hormonal.
    • Gestion du stress et hygiène de vie : Le stress chronique augmente la production de cortisol, une hormone qui peut perturber le système hormonal et aggraver la dominance œstrogénique. Intégrer des pratiques comme la méditation, le yoga ou des exercices de respiration aide à réguler les hormones.
    • Une activité physique régulière améliore la circulation sanguine, stimule le métabolisme et favorise l'élimination des hormones en excès, tout en aidant à maintenir un poids santé, un facteur important dans le contrôle des œstrogènes produits par le tissu adipeux.
    • Supplémentation naturelle ciblée : Certains compléments alimentaires, comme ceux proposés par la gamme Miyé, contiennent un mélange de plantes médicinales et de nutriments pour soutenir la détoxication hépatique et l’élimination des œstrogènes. Par exemple, des complexes à base de chardon-Marie aident le foie à mieux filtrer les hormones, tandis que le gattilier agit comme régulateur hormonal.

    D’autres ingrédients comme les polyphénols du thé vert, les vitamines B, le magnésium et le soufre (présent dans l'ail et les légumes verts) accompagnent efficacement cette démarche.

    • Régulation du cycle menstruel : Favoriser un bon équilibre entre œstrogènes et progestérone est essentiel. Pour cela, revoir son mode de vie global et soutenir son foie permet souvent d’améliorer la phase post-ovulatoire, réduisant ainsi les symptômes du syndrome prémenstruel (SPM) et la dominance œstrogénique relative qui en découle. Dans certains cas, un accompagnement par un professionnel de santé peut être nécessaire pour équilibrer les hormones via des traitements spécifiques ou naturels adaptés.

    En combinant ces approches — alimentation saine, gestion du stress, supplémentation ciblée et attention portée au cycle — vous pouvez efficacement réduire l’excès d’œstrogènes, améliorer votre bien-être hormonal et prévenir les complications liées à l’hyperoestrogénie.

    FAQ sur l'hyperoestrogénie et l'équilibre hormonal

    Quels sont les symptômes de l'hyperoestrogénie à surveiller ?

    Les symptômes de l'hyperoestrogénie incluent des règles abondantes et douloureuses, une prise de poids localisée autour des hanches et du ventre, des douleurs ou tensions mammaires, une irritabilité et des sautes d'humeur. Vous pourriez également remarquer des problèmes de peau tels que l'acné, des troubles digestifs, et une rétention d'eau visible par des jambes lourdes. Le syndrome prémenstruel (SPM) est souvent accentué en cas d'hyperoestrogénie.

    Comment réguler les niveaux d'œstrogènes naturellement ?

    Pour réguler naturellement les niveaux d'œstrogènes, plusieurs approches peuvent être adoptées :

    – Optez pour une alimentation riche en légumes crucifères, comme le brocoli et le chou, qui favorisent la détoxication hépatique.

    – Réduisez l'exposition aux perturbateurs endocriniens présents dans les produits ménagers, cosmétiques et contenants plastiques.

    – Adoptez une activité physique régulière et pratiquez des techniques de gestion du stress pour favoriser l'équilibre hormonal.

    – Envisagez la supplémentation par des plantes, telles que le chardon-Marie, qui soutiennent le foie dans son rôle de détoxication des œstrogènes.

    L'hyperoestrogénie peut-elle causer des problèmes de fertilité ?

    Oui, l'hyperoestrogénie peut entraîner des complications en matière de fertilité. Un excès d'œstrogènes peut perturber les cycles menstruels, provoquer des ovulations irrégulières, voire des troubles ovulatoires, rendant la conception plus difficile.

    En outre, elle favorise l'apparition de kystes ovariens, dont certains peuvent être liés à des conditions comme le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK), qui affecte également la fertilité.

    Quand faut-il consulter un professionnel de santé ?

    Il est essentiel de consulter un professionnel de santé si vous éprouvez plusieurs symptômes d'hyperoestrogénie, notamment des règles anormalement abondantes ou douloureuses, des changements dans votre humeur ou votre libido, ou des difficultés à concevoir. Un bilan hormonal peut aider à identifier un déséquilibre et à déterminer la meilleure stratégie de régulation.

    Par ailleurs, en cas de fibromes, de kystes suspects, ou de douleurs abdominales persistantes, une consultation médicale est indispensable pour évaluer votre état de santé et mettre en place un traitement approprié.

    Sources

    Les informations présentées dans cet article s'appuient sur diverses sources scientifiques et médicales fiables. Elles incluent notamment des études sur les déséquilibres hormonaux tels que l'hyperoestrogénie, ainsi que des sites web de santé renommés. Ces ressources permettent d'éclairer les lecteurs sur ce sujet essentiel pour la santé féminine.

    • 1. National Institutes of Health (NIH)

      Selon le NIH, l’hypéroestrogénie provient souvent d’une diminution du métabolisme hépatique des œstrogènes, associée à des pathologies telles que l’endométriose ou les fibromes.
      National Institutes of Health. Hyperestrogenemia overview.
      https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/?term=hyperestrogenemia


    • 2. Hormone Health Network (Endocrine Society)

      L’Endocrine Society décrit l’impact de l’hyperœstrogénie sur l’équilibre hormonal global et son lien avec l’infertilité et les troubles métaboliques.
      Hormone Health Network. Understanding Estrogen Dominance.
      https://www.hormone.org

    • 3. Mayo Clinic

      La Mayo Clinic recense les principaux symptômes de l’hypéroestrogénie ainsi que ses causes médicales courantes.
      Mayo Clinic Staff. High estrogen: causes, symptoms, and treatments.
      https://www.mayoclinic.org/diseases-conditions/

    Pour approfondir ces sujets, ces ressources constituent un excellent point de départ pour une exploration plus détaillée et enrichissante.

    Ce qu'il faut retenir de l'hyperoestrogénie

    L’hyperoestrogénie, définie par un excès d'œstrogènes par rapport à la progestérone, peut avoir un impact significatif sur votre cycle menstruel et votre bien-être général. Elle peut entraîner des symptômes variés tels que des règles abondantes, une prise de poids, une rétention d’eau et des troubles émotionnels. De plus, cette condition augmente le risque de développer certaines pathologies comme l’endométriose ou certains types de cancers.

    Pour retrouver un équilibre hormonal, il est important d’adopter une alimentation saine, de gérer efficacement votre stress et de soutenir les fonctions de votre foie grâce à une détoxication adaptée.

    N’hésitez pas à consulter un professionnel de santé pour envisager des solutions naturelles, comme les compléments Miyé, afin de préserver votre santé hormonale sur le long terme.

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