La ménopause et ses effets sur la santé féminine
Changements hormonaux pendant la ménopause
La ménopause se caractérise par une diminution progressive de la production d’hormones sexuelles féminines, principalement les œstrogènes et la progestérone . Ce déclin hormonal est dû à l’épuisement des follicules ovariens, les structures responsables de la production des ovules et des hormones. Typiquement, ce processus débute entre 45 et 55 ans, avec une moyenne autour de 52 ans.
La transition vers la ménopause, appelée périménopause, peut s’étendre sur plusieurs années. Durant cette période, les niveaux hormonaux fluctuent de manière irrégulière, entraînant des cycles menstruels imprévisibles. Ces variations hormonales sont à l’origine de nombreux symptômes caractéristiques de la ménopause.
Symptômes courants de la ménopause
Les manifestations de la ménopause varient considérablement d’une femme à l’autre, tant en termes d’intensité que de durée. Parmi les symptômes les plus fréquents, on retrouve :
- Les bouffées de chaleur et les sueurs nocturnes
- La sécheresse vaginale et les troubles de la libido
- Les troubles de la concentration (oublis et brouillard mental)
- Les troubles du sommeil et la fatigue
- Les sautes d’humeur et l’irritabilité
- La prise de poids les imperfections hormonales et la modification de la silhouette
Ces symptômes peuvent avoir un impact significatif sur la qualité de vie des femmes, affectant leur bien-être physique et émotionnel ainsi que leurs relations personnelles et professionnelles. C’est souvent pour soulager ces désagréments que les femmes se tournent vers les traitements hormonaux.
Impact à long terme sur la santé osseuse et cardiovasculaire
Au-delà des symptômes immédiats, la carence en œstrogènes liée à la ménopause a des conséquences à long terme sur la santé. Les deux systèmes principalement affectés sont :
Le système osseux : La diminution des œstrogènes accélère la perte osseuse, augmentant le risque d’ostéoporose et de fractures. On estime que les femmes peuvent perdre jusqu’à 20% de leur masse osseuse dans les 5 à 7 ans suivant la ménopause.
Le système cardiovasculaire : Les œstrogènes jouent un rôle protecteur pour le cœur et les vaisseaux sanguins. Leur diminution entraîne une augmentation du risque de maladies cardiovasculaires, qui deviennent la première cause de mortalité chez les femmes après la ménopause.
Ces risques à long terme sont également pris en compte dans la décision de recourir ou non à un traitement hormonal.
Les différents traitements hormonaux de la ménopause
Qu’est-ce que le traitement hormonal substitutif (THS / THM)?
Le traitement hormonal substitutif (THS / THM), parfois appelé hormonothérapie substitutive (HTS), vise à remplacer les hormones sexuelles, principalement l’œstrogène et la progestérone, que le corps produit en moins grande quantité après la ménopause. En réintroduisant ces hormones, le THS peut aider à réduire divers symptômes de la ménopause.
L’œstrogène permet de maintenir l’élasticité de la peau, la densité osseuse et la lubrification vaginale. La progestérone, quant à elle, équilibre les effets de l’œstrogène et réduit le risque de cancer de l’endomètre lié à une exposition excessive aux œstrogènes.
Composition et modes d’administration du THS / THM
Le traitement hormonal substitutif (THS ou THM) classique vise à remplacer les hormones que le corps ne produit plus en quantité suffisante. Il se compose généralement :
- D’œstrogènes, pour soulager les symptômes de la ménopause et prévenir l’ostéoporose
- De progestérone (ou progestatifs), pour protéger l’utérus contre le risque de cancer de l’endomètre lié aux œstrogènes seuls
Le THS peut être administré sous différentes formes : comprimés, patchs transdermiques, gels, sprays ou anneaux vaginaux. Le choix de la voie d’administration dépend des préférences de la patiente et des recommandations médicales.
Indications et durée recommandée du traitement
Le THS/ THM est principalement indiqué pour soulager les symptômes invalidants de la ménopause, en particulier les bouffées de chaleur sévères. Il est également efficace pour prévenir l’ostéoporose post-ménopausique. Cependant, les recommandations actuelles préconisent :
- Une utilisation à la dose minimale efficace
- Une durée de traitement la plus courte possible
- Une réévaluation annuelle du rapport bénéfices/risques
La durée optimale du traitement fait l’objet de débats, mais elle est généralement limitée à 5-7 ans maximum, sauf cas particuliers.
Traitement hormonal de la ménopause (THM / THS)
Avantages potentiels du THM / THS
Les bénéfices potentiels du THM sont nombreux et incluent :
- Une réduction significative des bouffées de chaleur et des sueurs nocturnes
- Une amélioration de la qualité du sommeil et de l’humeur
- Une prévention de l’ostéoporose et une réduction du risque de fractures
- Une amélioration des symptômes génito-urinaires (sécheresse vaginale, infections urinaires récidivantes)
Certaines études suggèrent également un possible effet protecteur contre les maladies cardiovasculaires si le traitement est initié précocement après la ménopause. Attention, il existe une fenêtre de tir au cours de laquelle il faut prendre le traitement, après, ça peut être trop tard, renseignez-vous auprès de votre médecin traitant et/ou gynécologue.
Définition et spécificités des hormones bio-identiques
Les hormones bio-identiques sont des molécules synthétisées en laboratoire mais dont la structure chimique est identique à celle des hormones naturellement produites par le corps humain. Elles sont souvent présentées comme une alternative plus « naturelle » aux hormones conventionnelles utilisées dans le THS.
Les défenseurs des hormones bio-identiques affirment qu’elles seraient mieux tolérées et plus sûres que les hormones traditionnelles. Cependant, ces affirmations sont controversées dans la communauté médicale.
Controverse autour de l’efficacité et de la sécurité
La controverse autour des hormones bio-identiques porte sur plusieurs points :
- Le manque d’études à grande échelle sur leur efficacité et leur sécurité à long terme
- L’absence de standardisation dans leur production, notamment pour les préparations magistrales
- La remise en question de leur supériorité par rapport aux traitements conventionnels
Les autorités sanitaires, comme la FDA aux États-Unis, mettent en garde contre les allégations non prouvées concernant ces produits.
Indications pour les traitements locaux
Les traitements hormonaux locaux, principalement sous forme de crèmes ou d’ovules vaginaux, sont spécifiquement indiqués pour traiter les symptômes génito-urinaires de la ménopause, tels que :
- La sécheresse vaginale
- Les douleurs lors des rapports sexuels (dyspareunie)
- Les infections urinaires à répétition
Ces traitements permettent d’administrer de faibles doses d’œstrogènes directement au niveau des tissus concernés.
Avantages par rapport aux traitements systémiques
Les traitements locaux présentent plusieurs avantages par rapport aux traitements systémiques :
- Une absorption systémique minimale, réduisant les risques d’effets secondaires
- Une efficacité ciblée sur les symptômes génito-urinaires
- La possibilité d’être utilisés à long terme avec un profil de sécurité favorable
Ces traitements sont souvent préférés chez les femmes présentant uniquement des symptômes locaux ou chez celles pour qui un traitement systémique est contre-indiqué.
Les conséquences de l’étude WHI study de 2002
Aux États-Unis, la WHI Study (Women’s Health Initiative) de 2002 a marqué un tournant dans la perception de l’hormonothérapie substitutive de la ménopause. Cette vaste étude a révélé que ce type de traitement, autrefois prescrit pour atténuer les symptômes de la ménopause, pouvait accroître les risques de maladies graves, notamment les cancers du sein et les accidents cardiovasculaires. Ces découvertes ont entraîné une révision majeure des recommandations médicales, incitant à une plus grande prudence dans l’utilisation de l’hormonothérapie pour les femmes ménopausées.
Suite à cette étude, alors que plus de 70% des femmes prenaient un traitement hormonal à la ménopause, ce nombre a chuté autour de 10% aujourd’hui. Avec des conséquences pas toujours heureuses pour les femmes… Faisons le point sur cette étude :
Les points clés et les implications de cette étude :
- Risques cardiovasculaires accrus : L’étude a démontré que le THS/ THM, surtout combinant œstrogènes et progestatifs, augmentait les risques de maladies cardiovasculaires, y compris les crises cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux. Cette découverte a été marquante, car l’hormonothérapie était auparavant considérée comme protectrice pour le cœur.
- Augmentation du risque de cancer du sein : Le THS / THM a également été associé à un risque accru de développer un cancer du sein, en particulier pour les traitements combinés œstrogènes-progestatifs. Cette conclusion a mené à une réévaluation des avantages versus les risques de l’hormonothérapie pour certaines femmes.
- Autres risques de santé : L’étude a noté une augmentation des risques de thrombose veineuse profonde et d’embolie pulmonaire. Ces effets secondaires potentiellement graves ont renforcé la prudence à adopter face à la prescription d’hormonothérapie.
- Effets protecteurs limités : Bien que certains bénéfices aient été observés, comme une réduction de l’ostéoporose et des fractures, ces avantages ont été jugés insuffisants pour contrebalancer les risques accrus pour la santé.
OUI SAUF QUE… et c’est un gros bémol, l’étude a été réalisé sur un type d’hormones à base d’urines de jument qui n’a jamais été utilisé en France et sur un profil de femmes bien particulier ( beaucoup de biais dans cette étude)
Cette étude n’a donc rien à voir avec le traitement hormonal biomimétique actuel même si elle a souligné l’intérêt d’étudier la prescription au cas par cas.
Controverse de l’étude
L’étude WHI (Women’s Health Initiative), bien que pionnière, a été largement critiquée pour plusieurs biais méthodologiques qui ont influencé la perception du traitement hormonal substitutif (THS). Un des principaux reproches concerne le profil des participantes : la majorité étaient des femmes de plus de 60 ans, ménopausées depuis longtemps, alors que le THS est souvent recommandé dès les premiers symptômes de la ménopause, chez des femmes plus jeunes. Ce décalage d’âge a biaisé les résultats en sous-estimant potentiellement les bénéfices et en accentuant les risques pour une population déjà plus vulnérable aux maladies cardiovasculaires.
De plus, la WHI a utilisé des formulations hormonales spécifiques, aujourd’hui moins courantes, et ses résultats ne prennent pas en compte les avancées sur les nouvelles approches de THS. Comme le souligne la revue revmed.ch, ces biais ont conduit à des généralisations hâtives, influençant négativement la confiance des patientes envers le THS et laissant place à une interprétation qui mérite d’être reconsidérée pour refléter la diversité des profils et des besoins des patientes.
La pilule contraceptive en période de périménopause
Utilisation de la pilule pour soulager les symptômes
Certaines femmes en périménopause choisissent de continuer ou de commencer à prendre la pilule contraceptive pour gérer les symptômes de la ménopause. La pilule peut en effet :
- Réguler les cycles menstruels devenus irréguliers
- Réduire les bouffées de chaleur et les sueurs nocturnes
- Maintenir la densité osseuse
Cependant, l’utilisation de la pilule à des fins thérapeutiques en périménopause doit être soigneusement évaluée par un médecin.
Risques spécifiques chez les femmes de plus de 40 ans
L’utilisation de la pilule contraceptive chez les femmes de plus de 40 ans comporte des risques spécifiques :
- Un risque accru de thrombose veineuse, particulièrement chez les fumeuses
- Une possible augmentation du risque de cancer du sein
- Des interactions potentielles avec d’autres médicaments fréquemment prescrits à cet âge
Ces risques doivent être soigneusement pesés contre les bénéfices potentiels, et des alternatives peuvent être envisagées
Risques associés aux traitements hormonaux de la ménopause
Cancer du sein et traitements hormonaux
Données des études épidémiologiques
La relation entre les traitements hormonaux de la ménopause et le risque de cancer du sein a fait l’objet de nombreuses études. Les données actuelles suggèrent que :
- Le THS combiné (œstrogènes + progestatifs) augmente légèrement le risque de cancer du sein
- Le traitement par œstrogènes seuls (chez les femmes hystérectomisées) semble avoir un impact moindre sur ce risque
- Le risque augmente avec la durée du traitement
Il est important de noter que l’augmentation du risque reste relativement faible en termes absolus, mais doit être prise en compte dans la décision thérapeutique.
Facteurs influençant le risque individuel
Le risque de cancer du sein lié au THS / THM varie en fonction de plusieurs facteurs individuels :
- L’âge au début du traitement
- Les antécédents familiaux de cancer du sein
- La densité mammaire
- Le mode de vie (alimentation, activité physique, consommation d’alcool)
Une évaluation personnalisée de ces facteurs est essentielle pour déterminer le rapport bénéfices/risques du traitement pour chaque patiente.
Thromboses veineuses et embolies pulmonaires
Les traitements hormonaux de la ménopause, en particulier par voie orale, augmentent le risque de thrombose veineuse et d’embolie pulmonaire. Ce risque est plus élevé :
- Pendant la première année de traitement
- Chez les femmes en surpoids ou obèses
- Chez les fumeuses
- En cas d’immobilisation prolongée
L’utilisation de traitements par voie transdermique (patchs, gels) semble associée à un risque moindre de thrombose par rapport à la voie orale.
Impact sur les maladies coronariennes
L’effet des traitements hormonaux sur le risque cardiovasculaire est complexe et dépend de plusieurs facteurs, notamment l’âge de début du traitement. Les données actuelles suggèrent que :
- Chez les femmes de moins de 60 ans ou dans les 10 ans suivant la ménopause, le THS pourrait avoir un effet protecteur sur le système cardiovasculaire
- Chez les femmes plus âgées ou longtemps après la ménopause, le THS pourrait augmenter le risque cardiovasculaire
Ces observations ont conduit au concept de « fenêtre d’opportunité » pour l’initiation du THS.
Effets sur l’endomètre et risque de cancer
L’utilisation d’œstrogènes seuls (sans progestatif) chez les femmes non hystérectomisées augmente considérablement le risque de cancer de l’endomètre. C’est pourquoi :
- Les femmes ayant encore leur utérus doivent toujours recevoir un traitement combiné (œstrogènes + progestatifs)
- Les femmes hystérectomisées peuvent recevoir un traitement par œstrogènes seuls
Le risque de cancer de l’endomètre lié au THS dépend également du type et de la dose de progestatif utilisé. Une surveillance régulière de l’endomètre est recommandée chez les femmes sous THS.
Autres effets secondaires potentiels
Outre les risques majeurs mentionnés précédemment, le THS peut entraîner d’autres effets secondaires, généralement moins graves mais pouvant affecter la qualité de vie :
- Tension mammaire et mastodynie
- Nausées et ballonnements
- Maux de tête
- Saignements irréguliers, en particulier au début du traitement
- Rétention d’eau et prise de poids
Ces effets sont souvent transitoires et peuvent être atténués en ajustant la dose ou en changeant le mode d’administration du traitement.
Démêler le vrai du faux sur les traitements hormonaux
Idées reçues sur l’efficacité des traitements
De nombreuses idées reçues circulent au sujet des traitements hormonaux de la ménopause. Parmi les plus courantes :
- « Le THS est la solution miracle à tous les problèmes de la ménopause » : Bien que très efficace pour certains symptômes, le THS n’est pas une panacée et ne convient pas à toutes les femmes.
- « Les traitements hormonaux font forcément grossir » : Une légère prise de poids est possible au début du traitement, mais elle n’est pas systématique et peut être contrôlée.
- « Les hormones bio-identiques sont sans danger car naturelles » : Bien que présentées comme plus naturelles, ces hormones n’ont pas prouvé leur supériorité en termes de sécurité par rapport aux traitements conventionnels.
Il est crucial de discuter de ces idées reçues avec un professionnel de santé pour prendre une décision éclairée.
Controverses autour de la sécurité à long terme
La sécurité à long terme des traitements hormonaux de la ménopause reste un sujet de débat dans la communauté médicale. Les principales controverses portent sur :
- La durée optimale du traitement : certains experts préconisent une utilisation à court terme (moins de 5 ans), tandis que d’autres soutiennent qu’un traitement plus long peut être bénéfique pour certaines femmes.(5 à 10 ans)
- L’impact sur le risque cardiovasculaire : les résultats contradictoires de différentes études ont conduit à des interprétations divergentes sur l’effet protecteur ou délétère du THS sur le système cardiovasculaire.
- Le risque de cancer du sein : bien que le lien soit établi, l’ampleur du risque et sa pertinence clinique font l’objet de débats.
Ces controverses soulignent l’importance d’une approche personnalisée et d’un suivi régulier pour chaque patiente sous THS.
Balance bénéfices-risques selon le profil de la patiente
La décision de recourir à un traitement hormonal doit être prise au cas par cas, en évaluant soigneusement la balance bénéfices-risques pour chaque patiente. Les facteurs à prendre en compte incluent :
- L’âge de la patiente et le délai depuis la ménopause
- L’intensité des symptômes et leur impact sur la qualité de vie
- Les antécédents médicaux personnels et familiaux
- Les facteurs de risque cardiovasculaires et de cancer
- Les préférences personnelles de la patiente
Une femme jeune, récemment ménopausée, sans facteurs de risque particuliers et souffrant de symptômes invalidants aura probablement une balance bénéfices-risques favorable au traitement. À l’inverse, une femme plus âgée, ménopausée depuis longtemps ou présentant des facteurs de risque importants pourrait avoir une balance moins favorable.
Alternatives et approches complémentaires
Traitements non hormonaux des symptômes de la ménopause
Pour les femmes ne pouvant ou ne souhaitant pas recourir aux traitements hormonaux, plusieurs alternatives non hormonales existent :
- Inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS) ou inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline (IRSN) pour les bouffées de chaleur
- Gabapentine ou prégabaline pour les troubles du sommeil et les bouffées de chaleur
- Lubrifiants et hydratants vaginaux pour la sécheresse vaginale
- Traitements locaux à base d’acide hyaluronique pour l’atrophie vulvo-vaginale
Ces traitements peuvent être efficaces pour cibler des symptômes spécifiques, mais n’offrent pas les bénéfices systémiques des traitements hormonaux.
Phytothérapie et compléments alimentaires
Certaines femmes se tournent vers la phytothérapie et les compléments alimentaires naturelles périménopause et ménopause pour soulager les symptômes de la ménopause.
Par ailleurs, les remèdes naturels pour la ménopause, gagnent en popularité et s’avèrent être de réelles alternatives efficaces.
Importance de l’hygiène de vie dans la gestion de la ménopause
Au-delà des traitements médicamenteux, l’adoption d’une hygiène de vie adaptée peut grandement contribuer à atténuer les symptômes de la ménopause et à préserver la santé à long terme. Les recommandations clés incluent :
- Une alimentation équilibrée, riche en calcium et en vitamine D pour la santé osseuse
- Une activité physique régulière, combinant exercices d’endurance et de renforcement musculaire
- La gestion du stress par des techniques de relaxation comme le yoga ou la méditation
- L’arrêt du tabac et la limitation de la consommation d’alcool
- Le maintien d’un poids santé