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Quel est votre type de Syndrome prémenstruel ?

Les différents types de syndrome prémenstruel

 

Le syndrome prémenstruel (SPM) et son lot de désagréments – qui affecterait entre 60% et 90% de la population féminine selon les études – peut revêtir des manifestations très différentes ! Il est important de mieux apprendre à décrypter son syndrome prémenstruel, qui évolue de la puberté à la périménopause (le SPM étant souvent exacerbé dans ses manifestations autour de la ménopause)

 

Cher SPM, qui est-tu ?

 

Chez une femme pubère menstruée, l’utérus fabrique chaque mois un épais tissu appelé « endomètre » (muqueuse utérine épaissie) pour se préparer à accueillir un éventuel embryon. Mais la plupart des mois, sans fécondation aboutissant à la libération d’un embryon, l’élimination de l’endomètre déclenche le saignement cyclique que nous appelons les règles. Mais alors, est-ce que cette période cyclique et ses manifestations peuvent nous donner une idée sur notre état de santé générale ? Oui, tout à fait !

Et c’est bien pour cela qu’il est aussi important de l’observer et de mieux le comprendre : les règles seraient aussi un excellent moyen pour le corps de se débarrasser de ses toxines ! Et donc, plus le SPM serait intense, plus il serait révélateur d’un état de toxémie élevé. « Le corps fait une maladie pour se guérir » disait Hippocrate. Alors, apprenons à y faire face pour mieux (le) vivre et le dompter !

 

Les différents symptômes du SPM

 

Ils sont divers et peuvent varier d’une femme à une autre. Les plus fréquents sont : 

 

Acné hormonale

 

Les moins fréquents (sauf autour de la ménopause) : 

 

Physiologique ou psychologique ?

 

Le SPM peut aussi bien s’avérer d’origine physiologique, c’est-à-dire associé à un déséquilibre hormonal naturel de dominance en œstrogène (ou d’insuffisance en progestérone) très fréquent à la puberté en et périménopause, que lié à un traitement hormonal mal adapté ou mal dosé (pilule ou THS), ou encore amplifié par un déséquilibre psychologique (Stress chronique, choc émotionnel..) L’intensité peut considérablement varier d’un cycle à l’autre. Les Causes hormonales La plupart de ces symptômes sont tous liés à une hypersensibilisation aux hormones sexuelles.

Une hypersensibilisation veut dire que les cellules sont plus sensibles aux messages portés par les hormones. Le ballet de l’oestrogène et de la progestérone. Les secrétions d’hormones varient toit au long du cycle et le SPM apparaît particulièrement après l’ovulation, c’est-à-dire quelques jours avant l’arrivée des règles, au moment où la sécrétion d’œstrogènes chute et celle des progestérones augmentent. Puis les taux de ces 2 hormones chutent et entrainent les règles.

Or, ces deux hormones ont des effets antagonistes c’est donc un déséquilibre du rapport œstrogène / progestérone peut provoquer de nombreux symptômes du SPM. L’excès d’œstrogène (ou une insuffisance de progestérone) peut être dû à : – une insuffisance de la détox hépatique. (Le foie joue un rôle central dans l’élimination des œstrogènes endogènes ou exogènes.) – une compétition directe entre le cortisol et la progestérone au niveau de leurs récepteurs communs : La progestérone ne pourrait alors plus se fixer correctement et agir, le cortisol monopolisant les récepteurs. Un stress chronique entrainant en plus une dégradation de la progestérone en estrogènes quand les surrénales sont épuisées.

 

Oestrogènes

 

Mais il y a également d’autres hormones que les hormones sexuelles qui rentrent en jeu : L’Insuline L’insuline est une hormone qui permet de contrôler le taux de sucre dans le sang. Une hypoglycémie et des fringales se manifestent fréquemment avant l’arrivée des règles. Ces hypoglycémies sont liées à une sensibilité accrue des cellules à l’insuline en période prémenstruelle C’est la raison pour laquelle, manger des sucreries peut rendre nerveux et irritable. Cela va épuiser les surrénales mais surtout, la production répétitive d’adrénaline va perturber l’action de la progestérone (comme expliqué ci-dessus). La mélatonine La mélatonine, sécrétée à partir de la sérotonine joue un rôle majeur sur nos rythmes biologiques: sommeil, activité, repos. Une diminution de la mélatonine pourrait provoquer des troubles du sommeil et de l’humeur.

Une des explications des troubles du sommeil en période prémenstruelle résiderait dans l’augmentation de la température corporelle après l’ovulation qui pourrait retarder le pic de sécrétion la nuit et faire arrêter la sécrétion de mélatonine plus tôt le matin.

 

LA CLASSIFICATION DES SYMPTÔMES

 

Le Dr Guy Abraham a proposé une autre classification du SPM, en fonction des symptômes ressentis, avec des solutions naturelles adaptées à chaque type. NB : les différents types de SPM peuvent aussi se cumuler entre eux (quelle chance!) – A comme “Anxiété”, irritabilité, insomnies et troubles de l’humeur – H comme “Hydratation”, avec peau sèche, gonflements et rétention d’eau – C comme “Craving” (=fringales en Anglais) avec des envies de sucre, des fringales, des crises d’hypoglycémie – D comme “Dépression” : confusion, tristesse, idées noires

 

SPM de type A comme Anxiété

 

Pourquoi ? Une dominance des œstrogènes pourrait suractiver les neurotransmetteurs excitateurs du cerveau (noradrénaline, adrénaline, sérotonine) et diminuer la production de dopamine, neurotransmetteur inhibiteur Nutriments à privilégier : Vitamine B6, ashwagandha, achillée millefeuille, magnésium, vitamine D, DIM de Brocoli, safran, griffonia – Privilégier le son et germes de blé, l’avoine, l’avocat qui en renferment de bonne quantités. – Eviter les produits laitiers et les sucres raffinés (qui favorisent la fuite du magnésium)

 

SPM de type H comme hydratation

 

Pourquoi ? Un excès en oestrogènes et une déficience en dopamine favoriseraient la rétention d’eau et de sel dans les tissus Nutriments à privilégier : Vitamine B6, romarin, magnésium, safran, griffonia, desmodium, romarin, piloselle, magnésium, piloselle, ortie.. Diminuer les sucres raffinés, le sel et veiller à une alimentation à index glycémique bas.

 

SPM de type C comme Craving

 

La consommation alimentaire exagérée de sucres rapides (alcool, sucreries..) entrainerait des phases d’hypoglycémie en relation avec une sensibilité accrue des cellules à l’insuline en phase prémenstruelle. Des carences en chrome, magnésium, vitamine B6 et prostaglandines (issus des acides gras essentiels) seraient des éléments essentiels de cette perturbation métabolique. Cette situation est favorisée en cas d’excès de sucres raffinés (pain blanc, riz blanc,pâtes, etc.). Les vitamines et minéraux utiles : vitamine B6, ashwagandha, safran, magnésium, chrome, levure de bière, spiruline, onagre, bourrache.. Conseils : diminuer les sucres raffinés et augmenter la consommation de fibres avec des aliments moins raffinés et d’acides gras essentiels (Huile de colza, poissons gras..)

 

SPM de type D comme Dépression

 

Un taux élevé de progestérone (hyperprogestéronémie) aurait une action dépressive sur le système nerveux central. Les vitamines et minéraux utiles : magnésium, vitamines B et C, levure de bière Privilégier les substances détoxifiantes et boosteurs de neurotransmetteurs : ashwagandha, magnésium, alliance safran-griffonia, rhiodiola, spiruline, vitamine C, zinc, sélénium, romarin, desmodium (plantes détoxifiantes) Les conseils nutritionnels globaux à retenir :  1. Soutenir le foie (détoxification hormonale (lien), Dim de Brocoli, romarin, desmodium..) 2. Lutter contre le stress ( Activité physique, yoga, méditation) 2. Adapter son alimentation : Privilégier une alimentation à index glycémique bas, riche en magnésium ( banane, oléagineux, chocolat noir..), vitamines du groupe B, Vitamine D, acides gras anti- inflammatoires (Oméga 3) , limiter l’alcool, consommer des aliments fermentés riches en pré et probiotiques (comme le kéfir, kombucha, aliments fermentés..) N’hésitez pas à partager si l’article vous plait !

 

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