Quelles sont les causes et solutions des fourmillements à la ménopause ?

fourmillements
Les fourmillements, ou paresthésies, sont un symptôme courant et souvent déroutant de la ménopause, résultant principalement des fluctuations hormonales, notamment de la baisse des niveaux d'œstrogènes. Examinons ensemble les causes spécifiques de ces sensations désagréables liées à la ménopause et proposerons des solutions pour les atténuer et améliorer la qualité de vie durant cette période.
SOMMAIRE :

Est-ce normal d’avoir des fourmillements à la ménopause ?

Les fourmillements, aussi appelés paresthésies, pendant la ménopause ne sont pas aussi largement discutés que d’autres symptômes comme les bouffées de chaleur ou les troubles du sommeil. Pourtant, ils représentent une expérience fréquente pour de nombreuses femmes. Cependant, il est important de noter que ces symptômes ne sont pas toujours reconnus dans l’ensemble des ouvrages médicaux sur la ménopause. Par exemple, ils ne figurent pas dans le questionnaire de Greene, un outil standard utilisé pour évaluer les symptômes de la ménopause.

Quelles sont les causes de ces fourmillements ?

Les fourmillements pendant la ménopause peuvent avoir de nombreuses causes. Il peut s’agir d’un signe de périménopause, qui est la période de transition précédant la ménopause. Parmi les autres causes : un faible taux d’œstrogènes, un niveau de stress élevé, des carences nutritionnelles ou encore des problèmes de circulation. 

Les dérèglements hormonaux sont souvent à l’origine des sensations de fourmillement, car les œstrogènes contribuent à la santé et au bon fonctionnement des nerfs. Une baisse du taux d’œstrogène peut entraîner des lésions nerveuses et des fourmillements. 

Des carences nutritionnelles peuvent également provoquer cette gêne : la vitamine B12 et l’acide folique sont essentiels au bon fonctionnement des nerfs.

Un niveau de stress élevé peut également provoquer des picotements. Lors de pics de stress, le corps libère de l’adrénaline et du cortisol. Ces hormones de stress peuvent resserrer les vaisseaux sanguins et réduire le flux sanguin vers les extrémités. 

Mais aussi, lors de la ménopause, les femmes sont plus sujettes aux problèmes de circulation sanguine. Les jambes et les pieds sont les membres les plus touchés en cas de mauvaise circulation. Ils vont gonfler puis devenir lourds et créer cette sensation de picotements et/ou engourdissement. Dans certains cas, l’apparition de varices est un signe de mauvaise circulation sanguine.

Comment contrer les sensations de picotements ?

En général, une bonne hygiène de vie suffit pour rééquilibrer naturellement son corps. Dormir suffisamment, s’hydrater, faire de l’activité physique à minima 3 fois par semaine… Suffisent à contrer l’état de fourmillements dans le corps. Des techniques de relaxation et d’étirements sont aussi intéressantes pour permettre de relancer une bonne circulation sanguine comme le yoga ou les pilates. Des exercices simples comme l’élévation des jambes permet d’alléger la pression subie par les veines. L’utilisation de produits naturels pour la ménopause et ses symptômes.

Pour apaiser cette sensation désagréable, des soins naturels existent. Notre sérum corps de massage permet d’apaiser et d’hydrater le corps grâce aux actifs à l’efficacité prouvée. Notamment, grâce à l’extrait de Yam qui est reconnu pour ses propriétés antispasmodiques, au ginkgo biloba aux vertus circulatoires et  à l’extrait de Magnésium aux vertus myorelaxantes et apaisantes qui permet de diminuer les sensations d’inconfort et de gêne.

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Comment savoir si je ne suis pas affectée par le syndrome des jambes sans repos ?

D’autres symptômes s’apparentant aux fourmillements existent : les crampes et jambes douloureuses et lourdes peuvent signifier que vous souffrez du syndrôme des jambes sans repos. Ce syndrome survient aussi en période de ménopause et est causé par un désordre neurologique du mouvement. 

Pour venir contrer ce syndrome, quelques modifications au mode de vie peuvent suffire. 

Limiter la consommation d’alcool, de caféine et de tabac, mais aussi porter des bas de contention sont des habitudes à mettre en place rapidement pour retrouver une sensation de légèreté et venir à bout de ce syndrome. Dormir les pieds légèrement surélevés et marcher au moins 30 minutes par jour pour bien activer le retour veineux est essentiel.

Vous pouvez également masser vos jambes de bas en haut ( en remontant) avec des soins aux vertus décongestionnantes et circulatoires comme notre sérum corps de massage 

En cas de persistance de cette gêne, la consultation d’un spécialiste deviendra alors nécessaire. 

Est-ce normal d’avoir des fourmillements à la ménopause ?

Les fourmillements, aussi appelés paresthésies, pendant la ménopause ne sont pas aussi largement discutés que d’autres symptômes comme les bouffées de chaleur ou les troubles du sommeil. Pourtant, ils représentent une expérience fréquente pour de nombreuses femmes. Cependant, il est important de noter que ces symptômes ne sont pas toujours reconnus dans l’ensemble des ouvrages médicaux sur la ménopause. Par exemple, ils ne figurent pas dans le questionnaire de Greene, un outil standard utilisé pour évaluer les symptômes de la ménopause.

Engourdissements, picotements, douleurs : quelles différences ?

Les fourmillements ressentis pendant la ménopause peuvent parfois être confondus avec d’autres sensations comme les engourdissements ou les douleurs. Pourtant, il est essentiel de bien distinguer ces symptômes.

Les fourmillements, ou paresthésies, se manifestent par des picotements ou des sensations de fourmillement, souvent ressentis après être resté dans une même position pendant un certain temps. En revanche, les engourdissements se traduisent par une impression de lourdeur ou d’inertie dans les membres. Les douleurs, quant à elles, sont des sensations de gêne ou de souffrance plus marquées.

Faire ces distinctions est important pour permettre une évaluation correcte et un traitement adapté.

Quelles zones du corps sont touchées ?

Les fourmillements liés à la ménopause touchent généralement les extrémités du corps. Les zones les plus fréquemment affectées incluent les pieds, les jambes, les bras et les mains.

Dans certains cas, ces sensations de picotement peuvent également apparaître sur le visage. Ces régions sont particulièrement sensibles aux fluctuations hormonales caractéristiques de la ménopause, ce qui explique leur vulnérabilité accrue.

Quelles sont les causes de ces fourmillements ?

Les fourmillements pendant la ménopause peuvent être attribués à plusieurs facteurs, chacun ayant ses propres mécanismes sous-jacents. Comprendre ces causes est essentiel pour mieux gérer et atténuer ces symptômes.

Premier signe de périménopause ?

Les fourmillements peuvent être l’un des premiers signes de la périménopause, une période de transition qui précède la ménopause. Durant cette phase, le corps commence à subir des changements hormonaux significatifs, ce qui peut entraîner divers symptômes, y compris les fourmillements.

Déséquilibres hormonaux

Les fluctuations hormonales, particulièrement la diminution des niveaux d’œstrogènes, jouent un rôle majeur dans l’apparition des fourmillements. Les œstrogènes influencent le système nerveux, et leur diminution peut perturber le fonctionnement normal des nerfs, conduisant à des sensations de picotement et de fourmillement.

Stress et anxiété

Le stress et l’anxiété, souvent exacerbés pendant la ménopause en raison des changements hormonaux, peuvent également contribuer aux fourmillements. Ces états de stress peuvent affecter le système nerveux et amplifier les sensations de picotement et de gêne.

Carences ou autres pathologies

Certaines carences nutritionnelles ou des pathologies sous-jacentes peuvent également être à l’origine des fourmillements. Par exemple, des carences en vitamines B, en magnésium ou en calcium peuvent provoquer des paresthésies.

Il est important de consulter un médecin pour exclure toute autre condition médicale qui pourrait être responsable de ces symptômes.

Problèmes de circulation

Les problèmes de circulation sanguine peuvent jouer un rôle majeur dans l’apparition des fourmillements. Une mauvaise circulation réduit l’apport en oxygène et en nutriments aux tissus, ce qui peut provoquer des sensations de picotement et de fourmillement, notamment dans les extrémités.

Comment contrer les sensations de picotements ?

Contrer les sensations de picotements et de fourmillements pendant la ménopause nécessite une approche multidimensionnelle. Cela inclut des changements de style de vie, des stratégies de gestion du stress et, si nécessaire, l’utilisation de compléments alimentaires ou de traitements médicaux. Voici quelques conseils pratiques pour soulager ces symptômes.

Améliorer l’hygiène de vie

Adopter une alimentation variée et équilibrée est important pour réduire les fourmillements. Privilégiez les matières grasses saines, les légumes et les fruits. Ces aliments, riches en nutriments, aident à maintenir un équilibre hormonal et soutiennent la santé générale du système nerveux.

Gestion du stress et relaxation

Les exercices de relaxation, tels que la respiration profonde, le yoga ou la méditation, sont d’excellents outils pour apaiser les tensions nerveuses. Ils permettent également de réduire les sensations de picotement en diminuant le stress et l’anxiété, qui peuvent aggraver ces symptômes.

Activité physique et circulation sanguine

Une activité physique régulière est essentielle pour améliorer la circulation sanguine. Des exercices comme la marche, le cyclisme ou la natation sont particulièrement recommandés. Ils favorisent une bonne circulation et réduisent les sensations de lourdeur et de picotement dans les jambes et les bras.

Compléments alimentaires et plantes médicinales

Certaines plantes et compléments alimentaires peuvent être d’une grande aide. Par exemple, la vigne rouge, le petit-houx et le mélilot sont connus pour leurs effets bénéfiques sur la circulation sanguine et veineuse. Ils peuvent contribuer à soulager les jambes lourdes et les fourmillements. Cependant, il est important de consulter un médecin avant de commencer tout nouveau complément alimentaire, surtout si vous avez des antécédents médicaux ou prenez des médicaments.

Traitement hormonal substitutif (THS)

Dans certains cas, un traitement hormonal substitutif (THS) peut être recommandé pour atténuer les symptômes liés aux fluctuations hormonales, notamment les fourmillements. Cependant, il est essentiel de discuter de ce traitement avec un médecin, car il présente à la fois des risques et des bénéfices qui doivent être évalués avec soin.

Comment savoir si je ne suis pas affectée par le syndrome des jambes sans repos ?

Il est essentiel de bien différencier les fourmillements liés à la ménopause des symptômes du syndrome des jambes sans repos (SJSR). Ce dernier est une condition distincte qui peut également se manifester durant cette période. Voici les points clés pour vous aider à déterminer si vous êtes concernée par le SJSR.

Symptômes spécifiques du SJSR

Le SJSR se reconnaît par des sensations désagréables dans les jambes, comme des picotements, des tiraillements, des brûlures ou encore des crampes. Ces sensations s’accompagnent d’un besoin irrépressible de bouger les jambes, ce qui procure généralement un soulagement temporaire. Les symptômes ont tendance à s’aggraver en soirée ou après des périodes prolongées d’inactivité. Cela peut perturber le sommeil et causer une fatigue importante durant la journée.

Différences avec les fourmillements de la ménopause

Contrairement aux fourmillements associés à la ménopause, qui peuvent toucher différentes parties du corps et ne suivent pas un rythme précis, les symptômes du SJSR sont principalement localisés dans les jambes. De plus, ils s’intensifient souvent au repos ou en soirée. Si vous ressentez une envie incontrôlable de bouger vos jambes, surtout en fin de journée, il est probable que vous soyez affectée par le SJSR plutôt que par des fourmillements liés à la ménopause.

Facteurs de risque et causes sous-jacentes

Le SJSR est souvent lié à des facteurs génétiques, des déséquilibres neurologiques ou des maladies sous-jacentes telles que l’insuffisance rénale, le diabète ou une carence en fer. Si vous avez des antécédents familiaux de SJSR ou si vous souffrez de l’une de ces conditions, il est plus probable que vos symptômes soient associés au SJSR plutôt qu’à la ménopause.

Peut-on prévenir l’apparition des fourmillements pendant la ménopause ?

Bien qu’il soit difficile de éliminer complètement les symptômes liés aux changements hormonaux pendant la ménopause, il existe plusieurs stratégies efficaces pour atténuer ou prévenir l’apparition des fourmillements. Voici quelques mesures préventives que vous pouvez adopter :

Alimentation Équilibrée et Riche en Nutriments

Une alimentation riche en vitaminesminéraux et antioxydants est essentielle pour soutenir la santé nerveuse et réduire les risques de fourmillements. Intégrez des aliments riches en oméga-3, des légumes, des fruits et des matières grasses saines à votre régime alimentaire. Ces éléments peuvent vous aider à maintenir un équilibre hormonal et à prévenir les symptômes associés à la ménopause.

Hydratation Régulière

Une hydratation adéquate est essentielle pour le bon fonctionnement du système nerveux. Boire suffisamment d’eau tout au long de la journée contribue à prévenir les sensations de picotement et de fourmillement. Ne sous-estimez pas l’importance de l’eau pour votre santé globale.

Activité Physique Régulière

Pratiquer une activité physique régulière, comme la marche, le cyclisme ou la natation, améliore la circulation sanguine et réduit les risques de fourmillements. En outre, l’exercice physique favorise le maintien d’un bon équilibre hormonal tout en aidant à diminuer le stress et l’anxiété.

Consultation et Accompagnement Médical

Il est recommandé de consulter un professionnel de santé spécialisé dans la ménopause pour obtenir des conseils personnalisés et des mesures préventives adaptées à votre situation. Un accompagnement médical régulier permet d’identifier et de gérer les symptômes de manière précoce et efficace.

Suppléments et Phytothérapie

Certains suppléments et phytothérapies, tels que les isoflavones (phyto-estrogènes), peuvent offrir des bénéfices significatifs pour atténuer les symptômes de la ménopause, y compris les fourmillements. Cependant, il est essentiel de consulter un médecin avant de les intégrer à votre routine afin d’assurer leur compatibilité avec votre état de santé.

Conclusion

En conclusion, les fourmillements pendant la ménopause, bien que souvent moins abordés que d’autres symptômes, représentent une réalité fréquente pour de nombreuses femmes. Ces sensations de picotement sont généralement associées aux fluctuations hormonales, notamment à la diminution des niveaux d’œstrogènes.

Pour mieux gérer ces symptômes, il est essentiel d’adopter une bonne hygiène de vie. Cela inclut une alimentation équilibrée, une hydratation suffisante et la pratique d’une activité physique régulière. Ces habitudes peuvent significativement contribuer à réduire les inconforts.

De plus, il est vivement recommandé de consulter un médecin afin d’exclure d’autres conditions sous-jacentes et de bénéficier de conseils personnalisés. Ne négligez pas ces symptômes : prenez des mesures proactives pour améliorer votre qualité de vie et atténuer les désagréments liés à la ménopause.

D’autres symptômes s’apparentant aux fourmillements existent : les crampes et jambes douloureuses et lourdes peuvent signifier que vous souffrez du syndrôme des jambes sans repos. Ce syndrome survient aussi en période de ménopause et est causé par un désordre neurologique du mouvement.

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